Trois faveurs grâce à la neuvaine du travail

F. D. G., Paraguay

Après avoir fait la neuvaine du travail, ce grand saint m’a rendu un premier service :n’ayant pas pu intégrer l’université, effondré, j’ai prié avec beaucoup de foi en me servant de sa neuvaine : j’ai décroché un beau travail, qui m’a sorti de l’abîme.

La deuxième grande faveur de cette neuvaine m’a été accordée au moment où j’ai été licencié. J’avais besoin de travailler pour payer mes études. J’ai encore fait cette neuvaine et j’ai eu un travail à mi-temps.

Finalement, le dernier, et le plus grand miracle après la neuvaine du travail a eu lieu lorsque j’ai été embauché en tant que fonctionnaire de l’État ce qui me permet d’avoir une vie plus aisée avec un bon salaire, compatible avec mes études universitaires. Mon rêve s’est réalisé grâce à cette fantastique et bénie neuvaine du travail.